C’est marrant, j’ai beau aimer les thés oolongs, j’en achète rarement. Pourtant, ce sont souvent des breuvages subtils mais goûteux, parfaits pour toute la journée… Aujourd’hui, je vais vous parler du Qi Lan Oolong de Whittard of Chelsea, qui m’a été offert par une copine (quand je Continuer la lecture de « Thé # 182 : Thé noir Qi Lan Oolong – Whittard »
Gel douche # 88 : Douche Lait et Baies sauvages – Cottage
Je vous parlais la semaine dernière du lait pour le corps Cottage qui m’avait profondément déçue. Et, vu que j’adore quand même cette marque, j’ai décidé de me remonter le moral en publiant mon avis sur la Douche Lait Ressourçante “Lait et Baies Sauvages” de la marque ! Continuer la lecture de « Gel douche # 88 : Douche Lait et Baies sauvages – Cottage »
Nettoyant # 50 : Eau micellaire Framboise – Fun’Ethic
Voici mon tout premier avis sur un produit de la marque Fun’Ethic. On va parler de l’eau micellaire de la marque, de la gamme violette “Morgane – vivre ses 30 ans”. Cela tombe bien, c’est presque mon âge (je dis ça avec le sourire maintenant, mais redemandez-moi cela d’ici 17 mois et on verra la tête que je ferais ! ). Continuer la lecture de « Nettoyant # 50 : Eau micellaire Framboise – Fun’Ethic »
Taguée par Tequi : Smell Like Tag Séries
Tequi nous a concocté un nouveau TAG, sur son thème de prédilection : les séries TV. En lisant ses réponses, je pensais à celles que je donnerai (preuve que ce TAG m’inspirait) et voilà que je découvre mon nom en bas de son article : elle a osé me taguer, me nominer ! Alors… on attend quoi pour se lancer ? Continuer la lecture de « Taguée par Tequi : Smell Like Tag Séries »
Livre de chick lit # 99 : Maintenant ou jamais – Cindi Madsen
C’est mathématique (ou presque) : plus on côtoie un type de choses, plus on devient difficile à son encontre. Cela marche pour les cocktails comme pour les livres. Je commence à être difficile à satisfaire en termes de romances, ce fut le cas avec Maintenant ou jamais de Cindi Madsen Continuer la lecture de « Livre de chick lit # 99 : Maintenant ou jamais – Cindi Madsen »